Plus de 91 000 nouveaux postes d’emploi sont prévus dans le cadre du projet de loi de finances (PLF2021), dont près de 47 000 recrutements pour des postes vacants, a...…

La chaîne d’habillement américaine GAP a annoncé la fermeture de toutes ses boutiques en Europe. Selon le quotidien français « Le Monde« , près de 120 points de vente vont définitivement baisser...…

La compagnie nationale des hydrocarbures, Sonatrach, a annoncé qu’un incendie s’est déclenché ce mercredi aux environs de 20h20, au niveau du four du 2ème train du centre de traitement du...…

Le ministre de l’Energie, Abdelmadjid Attar a indiqué ce jeudi que « le groupe Sonelgaz a réalisé depuis 2015, près de 35 % d’économie de devises grâce aux efforts consentis en...…

L’Autorité de régulation de la Poste et des Communications Electroniques (ARPCE) a autorisé le 21 octobre 2020, l’opérateur Optimum Télécom Algérie – OTA « Djezzy » à commercialiser au titre de la...…

Radisson Hotel, l’un des groupes hôteliers les plus importants au monde, ambitionne de poursuivre son développement et d’accélérer sa stratégie de croissance en Algérie, au Maroc et en Tunisie. Les...…

Chassez le naturel et il revient au galop, ou encore les vieux réflexes ont la peau dure. C’est ce qu’inspire l’incident de ce mercredi, journée de reprise  de l’école pour les élèves et qui a vu une enseignante à Oran  grossièrement humiliée par un col blanc, représentant de l’exécutif au niveau local.  L’on nomme le wali de la capitale de l’ouest, Messaoud Djari, qui, à la  faveur d’une visite de travail, a grossièrement dédaigné une institutrice qui lui faisait part du piteux état du mobilier des classes, à l’école primaire où elle enseigne.  L’enseignante s’est longuement arrêtée sur le problème des tables, qu’elle  trouve « trop vieilles et usées ». Elle a indiqué à l’adresse du wali « que les  tables dont dispose son école datent de l’époque coloniale ».  Cette  observation n’a pas été du goût du wali  qui a insisté obstinément sur  l’allusion qu’elle a faite à « la période coloniale ». Il lui a alors tourné le dos avant même qu’elle ne termine son propos.  L’incident qui a été largement rapporté par les médias sur place, aura vite  fait d’inonder la toile et a suscité l’indignation sur les réseaux sociaux. C’est que cet incident réveille cette autre bévue commise par le, désormais, ex-  wali de Mostaganem, à l’égard de l’architecte, démuni, qui lui exposait un  plan de travail. Pour rappel, à Mostaganem, l’architecte chargé de la  présentation d’un travail a été publiquement dénigré par le wali qui ne  trouvait pas la veste de son vis-à-vis à son goût. Ainsi, et suite au cas de  l’enseignante, les algériens n’ont pas tardé à poster des commentaires sur leurs murs respectifs et de dénoncer massivement cette injustice qu’ils désignent par  « Hogra ». « Un wali et son chef de  protocole qui sermonnent une enseignante pour avoir mis à nu leur  laxisme et leurs politiques de bricolage et qui lui tournent le dos car à court d’arguments témoignent à mes yeux d’une politique de mépris : El hogra ! » Témoigne en effet une internaute exaspérée sur l’espace bleu.   « Des écoles sans tables et la télévision publique parle d’enseignement avec tablettes !  » Ironise un autre. Sinon cette autre pertinente observation :  «  Tous les hôpitaux (destinés au peuple) de la capitale -au moins- datent de l’époque coloniale. Merci de me corriger si je me  trompe. »

Les membres de la Commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont appelé lors de leur débat des dispositions fiscales contenues dans le Projet de loi...…

A la veille de « la journée nationale de la presse » décrétée par Abdelaziz Bouteflika, plus de cinquante journalistes, dressent un tableau noir sur la situation de la presse en Algérie....…

Le premier ministre, Abdelaziz Djerad a déclaré ce mercredi à Batna, lors de l’inauguration de l’année scolaire 2020/2021, que tous les élèves du primaire auront des tablettes numériques. Le chef...…