Si Ahmed Menad revient dans cet entretien accordé à Maghreb Emergent, sur son parcours d’ingénieur, sa participation à la rédaction de la première grande loi algérienne sur l’environnement et son expérience à l’ONU, où il a mené de nombreux projets environnementaux en Algérie.
L’expert retrace l’historique du projet de la mine du zinc d’Oued Amizour, dans la wilaya de Béjaia, initié dans les années 2000 par la société australienne Terramine, qui a rapidement rencontré des difficultés financières et s’est associée à un groupe chinois avec une participation majoritaire étrangère.
L’impact environnemental du projet n’est pas à la hauteur de ses retombées économiques, selon notre interlocuteur. Suivez l’interview