Dans les échanges de ce lundi matin, à 06h27 GMT, le Brent pour livraison en février 2026 gagnait 0,52 %, à 61,44 dollars le baril. Le West Texas Intermediate (WTI) américain, échéance janvier 2026, avançait dans les mêmes proportions, à 57,74 dollars, selon les données suivies en temps réel par la plateforme spécialisée Energy Platform.
Derrière ce rebond, ce sont surtout les inquiétudes sur les flux d’approvisionnement qui ont repris la main. Les tensions entre les États-Unis et le Venezuela ont remis ce pays au centre de l’attention des marchés, au moment où Washington a durci le ton. Les exportations vénézuéliennes auraient nettement reculé après la saisie par les États-Unis d’un pétrolier la semaine dernière, puis l’annonce de nouvelles sanctions visant des compagnies maritimes et des navires impliqués dans le transport du brut du producteur latino-américain.
Ce contexte tranche avec la dynamique de fin de semaine. Vendredi 12 décembre, les prix avaient terminé en baisse, prolongeant une séquence négative alimentée par des anticipations plus défavorables pour 2026. Le marché reste en effet travaillé par l’idée d’un excédent à venir, scénario qui pèse sur le sentiment des opérateurs même quand des risques ponctuels surgissent sur l’offre.
Sur l’ensemble de la semaine écoulée, le Brent et le WTI ont respectivement reculé de 4,1 % et 4,4 %. Une correction qui illustre la fragilité du marché, pris entre, d’un côté, des événements susceptibles de perturber l’offre à court terme, et, de l’autre, une lecture plus structurelle où l’hypothèse d’un surplus en 2026 continue de faire pression sur les prix.
Après avoir clôturé à des niveaux particulièrement bas vendredi dernier, les cours du pétrole ont amorcé un léger rebond ce lundi 15 décembre 2025, dans l’espoir de reprendre une partie du terrain perdu la semaine précédente. La hausse reste modeste et s’inscrit dans un marché partagé entre tensions géopolitiques et craintes d’un déséquilibre durable de l’offre et de la demande.
Dans les échanges de ce lundi matin, à 06h27 GMT, le Brent pour livraison en février 2026 gagnait 0,52 %, à 61,44 dollars le baril. Le West Texas Intermediate (WTI) américain, échéance janvier 2026, avançait dans les mêmes proportions, à 57,74 dollars, selon les données suivies en temps réel par la plateforme spécialisée Energy Platform, basée à Washington.
Derrière ce rebond, ce sont surtout les inquiétudes sur les flux d’approvisionnement qui ont repris la main. Les tensions entre les États-Unis et le Venezuela ont remis ce pays au centre de l’attention des marchés, au moment où Washington a durci le ton. Les exportations vénézuéliennes auraient nettement reculé après la saisie par les États-Unis d’un pétrolier la semaine dernière, puis l’annonce de nouvelles sanctions visant des compagnies maritimes et des navires impliqués dans le transport du brut du producteur latino-américain.
Ce contexte tranche avec la dynamique de fin de semaine. Vendredi 12 décembre, les prix avaient terminé en baisse, prolongeant une séquence négative alimentée par des anticipations plus défavorables pour 2026. Le marché reste en effet travaillé par l’idée d’un excédent à venir, scénario qui pèse sur le sentiment des opérateurs même quand des risques ponctuels surgissent sur l’offre.
Sur l’ensemble de la semaine écoulée, le Brent et le WTI ont respectivement reculé de 4,1 % et 4,4 %. Une correction qui illustre la fragilité du marché, pris entre, d’un côté, des événements susceptibles de perturber l’offre à court terme, et, de l’autre, une lecture plus structurelle où l’hypothèse d’un surplus en 2026 continue de faire pression sur les prix.